Le 30 mai dernier a eu lieu à l’Université Centrale Européenne (CEU) à Budapest (Hongrie), le deuxième séminaire européen projet solidus centré sur la solidarité dans le secteur du logement. L’objectif du séminaire était, d’une part, présenter l’état des choses et les défis actuels qui sont proposés dans le secteur du logement en Europe et d’autre part, de verser des contributions visibles étant réalisées à partir de différentes initiatives de solidarité européenne pour les groupes les plus vulnérables de notre société ont accès à un logement. Introduit par Andrew Cartwright (CEU), le séminaire européen a réuni des membres de la société civile, des représentants des entités impliquées dans le domaine des décideurs politiques et logement.La première partie de la réunion a porté sur la discussion des défis en matière d’accès au logement. À cet égard, Orna Rosenfeld, consultant de la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe, a fourni des données complètes sur les changements qui se produisent dans le marché de l’immobilier d’aujourd’hui et comment cette pression abaisse le pourcentage de logements sociaux et logement d’urgence dans différents pays à travers l’Europe et le monde occidental qui apportent des milliers de personnes à l’exclusion sociale, comme en témoigne la vue d’ensemble de l’exclusion du logement en Europe présenté par Chloé Serme-Morin de la Fédération européenne des organisations nationales travailler avec les sans-abri (FEANTSA).

Les participants plus tard ont eu l’occasion de participer à des groupes de travail modéré par Balint Misetics (CEU et de l’Université Eötvös Lorand) et Csaba Jelinek (Académie des sciences CEU et hongrois) pour répondre aux initiatives de solidarité en matière de logement analysées du projet solidus Danemark (Le modèle Skovsgård), la Slovaquie (Kojatice logement social), la Grèce (KYADA), Pays-Bas (Timon) et au Royaume-Uni (loyer Living campagne). Dans ces groupes de travail réfléchi sur les contributions que chacune des initiatives accomplis dans l’accès au logement pour les groupes vulnérables et comment transférer ces contributions à d’autres pays sous la forme de recommandations qui pourraient améliorer la situation du logement.

La deuxième partie du séminaire européen axé sur la protection des logements pour les groupes de personnes qui vivent des situations de risque en raison des processus d’expulsion. Alors, Kathleen Lynch et Manolis Kalaitzake (University College Dublin) a commencé par quelques réflexions sur la pression financière des banques sur le marché du logement. Pertinentes dans le débat ont été les contributions du représentant de la Plate-forme des personnes touchées par hypothèque (PAH) de Tarragone, Liviu Catalin Mara, qui a montré comme une initiative citoyenne conjointe formée principalement par des personnes qui ont été ou sont à l’expulsion ont atteint arrêter l’exécution de plus de 2.050 expulsions. Puis, le Dr Marta Soler, chercheur principal du projet, a présenté quelques-unes des principales conclusions de l’analyse des actions de solidarité dans le logement obtiennent projet solidus d’impact social. Cette deuxième partie a été complétée par la présentation des objectifs futurs et les lignes de travail mis en place pour les atteindre qu’affronte actuellement la Commission européenne dans le logement et gravitent principalement autour du pilier européen des droits sociaux, Jozsef Hegedus présenté par l’Institut de recherche Metropolitan, Edit Lakatos, LOGEMENT Europe. Gyorgy Sümeghy, Habitat pour l’humanité, a clôturé le séminaire en fournissant les principales conclusions de la journée.